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Hayti et la Peine de Mort: Quand la Nation Doit Frapper pour Survivre

En Hayti, nous vivons dans une jungle où les loups dévorent les agneaux sous les yeux complices d’un État aveugle et impuissant. Chaque jour, les balles sifflent, les cadavres s’empilent, les familles pleurent et les bourreaux se pavanent en toute impunité. Dans ce pays, on ne vit pas, on survit. Et pourtant, certains osent encore nous parler de « droits humains » pour protéger des monstres qui n’ont jamais respecté la moindre parcelle d’humanité. Face à ce désastre, il n’y a plus de place pour les discours mous ni pour les compromis hypocrites. Hayti doit choisir, protéger ses criminels ou protéger son peuple. Et la seule justice qui parle encore à ces monstres qui tuent, violent, volent et trahissent la patrie, c’est la justice radicale la peine de mort.

En Hayti, tuer un homme est devenu plus facile que tuer un cochon. Kidnapper une femme, c’est devenu un business. Vendre des enfants à l’étranger, c’est devenu un commerce normalisé. Arracher des organes sur des corps sans défense pour les revendre au marché noir, c’est devenu une pratique secrète mais bien réelle, preuve que la vie humaine n’a plus aucune valeur. Trahir la patrie en s’alliant aux puissances étrangères ou aux gangs, c’est devenu la carrière des politiciens.Et que fait l’État ? Rien. Ou pire, il collabore. Les politiciens financent les gangs. Les policiers louent leurs armes aux bandits. Les juges libèrent les assassins contre quelques liasses de billets. Voilà la réalité nue. Hayti est dirigée par la corruption, gouvernée par la peur et contrôlée par les criminels.

La vérité crue est simple, l’impunité a fait d’Hayti un cimetière à ciel ouvert. Ceux qui assassinent des enfants, violent des jeunes filles, massacrent des familles entières ne craignent ni la police, ni la justice, ni même Dieu. Car en Hayti, la justice dort, la police négocie, et les politiciens protègent les criminels qui les financent. Résultat ? La violence règne, et l’innocent est enterré pendant que le coupable trinque au rhum.Alors oui, il faut le dire haut et fort, la peine de mort doit redevenir une arme légitime du peuple et de l’État. Pas comme un spectacle de dictateurs, mais comme une justice radicale et implacable face aux criminels qui détruisent notre société.

On nous répète: « La peine de mort est inhumaine. » Mais ce qui est inhumain, c’est de violer une fillette de 8 ans. Ce qui est inhumain, c’est de décapiter un chauffeur de bus parce qu’il n’a pas payé le « pèage » d’un gang. Ce qui est inhumain, c’est de kidnapper des étudiants, des médecins, des commerçants et de les laisser pourrir dans des caches infectes. Ce qui est inhumain, c’est de vendre la nation comme une marchandise au plus offrant. Il faut frapper vite, fort, et définitivement. Qui tue, qui viole, qui kidnappe, qui trahit la patrie doit mourir.  C’est une question existentielle.

 La peine de mort n’est pas une vengeance, mais la défense ultime de la société. Quand une société est dévorée par des loups, il faut éliminer les loups. Les prisons en Hayti ne servent à rien: elles débordent, et s’il y en a, elles forment de nouveaux criminels et deviennent des bases de commandement. Enfermer un bandit, c’est lui offrir du repos et du temps pour planifier le prochain massacre.

On nous vend l’idée que la prison suffit. Quelle prison ? Celle qui déborde déjà, où les criminels dirigent leurs gangs depuis l’intérieur ? En Hayti, les prisons sont des écoles du crime. Enfermer un tueur en série, c’est lui offrir un centre de formation et une cellule VIP. Non ! La prison ne corrige pas les monstres qui ont choisi le sang comme métier. Il n’y a qu’une seule langue que comprennent ces hommes : la peur de mourir.

Certains diront: « Mais la peine de mort pour un politicien corrompu, n’est-ce pas exagéré? » Non. Parce que la corruption tue plus que les balles. Quand un ministre vole l’argent de l’hôpital, ce sont des milliers d’enfants qui meurent faute de soins. Quand un député détourne les fonds de la reconstruction, ce sont des familles entières qui vivent sous les décombres.Quand un président pactise avec des puissances étrangères pour garder son trône, c’est toute la nation qui s’écroule.La corruption est un meurtre lent. Les corrompus sont des assassins en col blanc. Ils méritent la même peine que le bandit qui tire dans la rue.

 Le kidnapping est devenu une véritable industrie en Hayti. Chaque famille compte un parent ou un ami qui a été enlevé, humilié, torturé, violé ou tué. Le kidnapping n’est pas seulement un crime: c’est une guerre contre le peuple et contre la survie de la nation. Un bandit qui kidnappe détruit une vie, une famille entière, une économie et toute une nation. Et pourtant, combien de kidnappeurs sont arrêtés ? Combien sont jugés ? Aucun. Ils sortent de prison avec l’aide de juges complices.Pour le kidnapping, la peine de mort n’est pas seulement juste, elle est obligatoire. C’est le seul moyen d’arrêter ce cancer.

La trahison de la patrie : le crime impardonnable

En Hayti, trahir la patrie est devenu un sport national. Les politiciens bradent nos richesses, livrent nos ports et nos frontières, pactisent avec les gangs, invitent les forces étrangères à occuper notre territoire. Ces traîtres ne valent pas mieux que les esclavagistes qui vendaient nos ancêtres.

Dans n’importe quel pays digne de ce nom, la trahison est punie de mort. En Hayti, elle devrait l’être encore plus, parce que chaque trahison nous enfonce dans la misère et la dépendance.

La peine capitale n’est pas une vengeance. C’est un message clair: qui tue, doit mourir. Non pas par barbarie, mais par devoir de justice et de survie. Un État qui ne protège pas les innocents trahit son peuple. Et protéger les innocents, c’est parfois éliminer définitivement les bourreaux.

On me dira: « Et si l’État se trompe ? » En Hayti, l’État se trompe déjà tous les jours en laissant les criminels tuer impunément. Le vrai danger, ce n’est pas d’exécuter un coupable, c’est de laisser mille innocents mourir faute d’avoir eu le courage d’agir.

En attendant que la peine de mort soit réellement appliquée, s’ils ont encore une once de dignité ou quelques neurones valables, ils devraient boire eux-mêmes le poison, comme l’a fait Socrate, plutôt que de continuer à imposer leur médiocrité et leur nuisance au monde.

Ceux qui s’opposent à la peine de mort en Hayti ne défendent pas les droits humains, ils défendent les droits des criminels. Ce sont des complices silencieux de la barbarie. Ils veulent protéger les loups au lieu de sauver les agneaux.

Hayti n’a pas besoin d’un État qui caresse les criminels, mais d’un État qui frappe les criminels. Nous ne parlons pas de barbarie, mais de survie. Tant que les assassins, les kidnappeurs, les violeurs, les corrompus et les traîtres ne craindront pas la mort, le peuple continuera à mourir chaque jour.

La peine de mort est donc plus qu’une option. Elle est une urgence. Une arme de justice. Une nécessité vitale. Parce que protéger la vie des innocents exige parfois d’éliminer définitivement ceux qui ont choisi la voie du crime et de la trahison. Hayti doit trancher: ou bien nous acceptons de mourir avec nos bourreaux, ou bien nous choisissons de vivre en les éliminant. La peine de mort n’est pas notre ennemie. Elle est notre dernière chance.

Moi, je choisis la vie des innocents. Et pour protéger cette vie, la peine de mort est non seulement légitime, mais nécessaire.

Avocat Pénaliste et chercheur en philosophie | Conférencier | Citoyen engagé pour une nouvelle Hayti.

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